Top articles
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Goldman.
Tu manques, si tu savais.. Infiniment, tout doucement. Plus que je ne me manque jamais quand je me perds de temps en temps.
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Goldmen.
Des concerts, mélanges éphémères.. Tous unis sous la même bannière.
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Goldman.
Reviens-moi de tes voyages si loin, reviens-moi, tout s’ajoute à ma vie.
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Frances Lou
Quand on ouvre nos mains, suffit de rien, dix fois rien.. Suffit d’une ou deux secondes, à peine un geste, un autre monde..
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Fredericks >< Goldmen >< Jones
Vivre même à demi, tant pis, mais vivre cent vies.
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Goldmen.
Blanc, le silence avant vous. Noire, la scène avant les coups.
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Goldmen et Michael Jones
Au monde, à ses douleurs qui ne me touchent plus.. Aux notes, aux solos que je n’ai pas inventés.
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Goldmen.
Tu veux juste une trace, un "oui j'existe encore".. Un petit bout d'espoir histoire de réconfort..
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Un premier essai.
Scénarisées les histoires d’amour.. Tous les « jamais », les « juré », les « toujours »..
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La passion.
Je deviendrai ces autres qui te donnent du plaisir, vos jeux seront les nôtres, si tel est ton désir.
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Goldman.
Dans ton exil, essaie d’apprendre à revenir.. Mais pas trop tard.
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Un nouveau lui. Goldmen.
Cette chose que tu n'expliques pas, te hante à chacun de tes pas.. Respirations en compte à rebours.. Son absence décompte tes jours..
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Goldmen.
Cet espèce de besoin qui court, qui te pèse un peu plus chaque jour..
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Un goût sur tes lèvres.
C’est un goût sur tes lèvres, juste après les baisers.. Une amertume à peine devinée.
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Second essai.
Des p’tits moments piqués en fraude, comme un automne aux pays chauds.. Plein du goût des baisers volés, toujours un p’tit peu plus sucrés..
